Du no code pour développer des solutions de gestion des risques et de la conformité

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Pour développer sans coder des applications de gestion des risques et de la conformité, l’éditeur Values Associates a mis au point une solution qu’il propose maintenant aux entreprises. (Photo : Values Associates)

Les métiers de l’audit et du contrôle interne gagnent à prendre appui sur des logiciels qui automatisent la collecte des informations, l’agrégation des données, le contrôle des délais et le reporting. L’éditeur français Values Associates a misé sur le développement no code pour simplifier la conception d’applications personnalisées qui collent aux spécificités du domaine tout en s’adaptant à celles de chaque entreprise.

Créée en 2007, la société s’est d’abord spécialisée dans la BI avant d’évoluer vers la création d’applications tirées par les données. La gestion des risques et de la conformité représente actuellement 80% des projets qu’elle suit. C’est sur cette expertise que Values Associates a conçu sa solution no-code. Celle-ci permet à ses clients de créer leurs applications en définissant les règles de gestion de leurs processus métiers, en paramétrant leur interface utilisateur (champs, libellés, contenus…), ainsi que la restitution des données. La solution intègre une bibliothèque de cartographies de risques qui propose différentes visualisations pour mieux analyser les jeux de données complexes.

Un environnement réglementaire très mouvant

Trois cas d’usage sont plus particulièrement ciblés : les missions d’audit, de contrôle interne et de gestion de la conformité. En utilisant son socle no-code, Values Associates a également lancé une gamme de modules répondant aux enjeux de la loi Sapin 2, en partenariat avec les équipes Anti-corruption et Ethique de Mazars. Sur son site, l’éditeur donne quelques exemples d’applications concrétisées par ses clients. L’une d’elles, construite sur des fonctionnalités de géovisualisation, simplifie « l’activité terrain des conseillers bancaires d’une grande banque mutualiste ».

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Maryse Gros

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